[ les morts ont tous la même peau]
Boris Vian
Sur les marches, jamais nous ne prévoyons le regard,
C'est à dire que l'on se croise d'abord avec les pieds.
La dispense d'hauteur - longue comme nos chevelures
et nos corps marqués de nuit
donnent à nos distances - - l'eau claire et droite d'un baiser
Ainsi puis-je te rendre l'image
cerclée de deux.
(réécriture d'un texte original de Chloe Danthes)
Albertine Benedetto-Eva Maria Berg / Mémoires du Rhin, Der
Rhein-Erinnerungen,
-
<< Poésie d'un jour wo der Rhein là où le Rhin entsprungen ist a pris sa
source und sich nach norden et se dirige vers le nord wendet ist es il n’y
a pas n...
Il y a 16 heures
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